VALSES POUR SOPRANO, ALTO, TENOR ET BASSE ET PIANO 4 MAINS
AUTEUR: JOHANNES BRAHMS 1833-1897
STYLE: Classique
COMMENTAIRE: Une seule partition fournie.
Le célèbre Liebeslieder op. 52, initialement pour piano à quatre mains et voix ad libitum, apparaît ici pour la première fois comme une édition Urtext moderne sous une forme jusqu'alors peu connue pour voix et piano à deux mains. Brahms réalisa lui-même cet arrangement en novembre 1874 après que le chef d'orchestre Hermann Levi, initialement mandaté, l'eut rejeté. Brahms s'était auparavant replongé dans les morceaux pour la version à quatre mains sans voix. 52a, de sorte qu'il a pu créer le nouvel arrangement en quelques jours. Ici, Brahms ne voulait plus explicitement que les voix soient "ad libitum", puisque les parties vocales ne sont plus complètement incorporées dans la partie de piano. Au printemps 1875, cette version fut publiée par Simrock, mais elle ne put prévaloir sur la version originale populaire et fut probablement jouée principalement dans un cadre domestique.
La présente édition souhaite inviter les musiciens à redécouvrir, tester concrètement et interpréter une forme encore peu connue des Liebeslieder op. 52. Le texte musical fait suite à la nouvelle édition complète de Brahms, sur laquelle est également basée la préface informative.
CONTENU:
01. Rede, Mädchen, allzu liebes
02. Am Gesteine rauscht die Flut
03. O die Frauen, wie sie Wonne tauen!
04. Wie des Abends schöne Röte, möcht’ ich, arme Dirne, glüh’n
05. Die grüne Hopfenranke, sie schlängelt auf der Erde hin
06. Ein kleiner, hübscher Vogel nahm den Flug zum Garten hin
07. Wohl schön bewandt war es vorehe
08. Wenn so lind dein Auge mir und so lieblich schauet
09. Am Donaustrande, da steht ein Haus
10. O wie sanft die Quelle sich durch die Wiese windet
11. Nein, es ist nicht auszukommen mit den Leuten
12. Schlosser auf, und mache Schlösser
13. Vögelein durchrauscht die Luft
14. Sieh‘, wie ist die Welle klar, blickt der Mond hernieder!
15. Nachtigall, sie singt so schön, wenn die Sterne funkeln
16. Ein dunkeler Schacht ist Liebe
17. Nicht wandle, mein Licht, dort außen im Flurbereich!
18. Es bebet das Gesträuche
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